Le soleil tapait fort ce jour-là au Cap d’Agde. J’avais passé la matinée à me balader le long de la plage naturiste, observant la faune particulière qui s’y promène, avant de m’allonger dans un coin plus tranquille, du côté de la Baie des Cochons.
Ma serviette étendue sur le sable chaud, j’ai fini par m’assoupir, bercé par le bruit des vagues et le souffle chaud du vent marin.
Je ne sais pas combien de temps j’ai dormi, mais c’est une sensation bien particulière qui m’a réveillé. Une chaleur humide autour de ma queue.
J’ai ouvert les yeux à moitié, et j’ai vu une silhouette fine, cheveux noirs, peau légèrement hâlée. Une Asiatique d’environ 25 ans, nue, accroupie entre mes jambes. Ses lèvres glissaient lentement le long de ma verge, sa main me caressait la base.
J’ai sursauté, mais elle m’a regardé avec un petit sourire, continuant son va-et-vient.
– Chut… profite…
Le contraste entre la fraîcheur de la brise et la chaleur de sa bouche me rendait fou. Je me suis laissé aller, sentant mon corps se raidir à mesure qu’elle accélérait.
Autour de nous, la plage continuait de vivre : des couples marchaient, des hommes discutaient, mais personne ne semblait vraiment se préoccuper de nous.
Elle a sorti ma queue de sa bouche, l’a léchée lentement de bas en haut, ses yeux dans les miens.
– T’étais si paisible… j’avais envie de goûter.
Elle a repris plus vite, alternant succion profonde et petits coups de langue sur le gland. Mes mains se sont glissées dans ses cheveux, la guidant doucement.
Son rythme était parfait, assez lent pour me faire durer, assez intense pour que chaque coup de langue me fasse frissonner.
Je me suis redressé un peu, caressant ses seins fermes. Ses tétons durs réagissaient à chaque contact.
– Tu veux qu’on continue ici ?
– Oui… j’aime quand c’est risqué…
Elle s’est agenouillée complètement sur le sable, a pris mes couilles dans sa main tout en me suçant plus profondément. Je pouvais sentir ma respiration s’accélérer.
Pour varier, je l’ai fait s’allonger sur le dos, juste à côté de ma serviette. Je me suis mis à genoux, et c’est moi qui ai commencé à la lécher. Son goût salé, mêlé au sable fin collé à sa peau, me donnait encore plus envie.
Elle gémissait doucement, se cambrant sous ma langue. Ses mains caressaient mes cheveux, m’encourageant à continuer.
Très vite, elle s’est remise à genoux devant moi.
– Laisse-moi te faire jouir.
Elle a repris ma queue en bouche, plus goulûment cette fois. Sa langue jouait autour du gland, puis elle me prenait profondément, jusqu’à presque m’étouffer. Ses mains caressaient ma base, ses yeux restaient fixés sur moi.
Je sentais que je n’allais pas tenir longtemps.
– Si tu continues… je vais…
Elle a simplement accéléré, aspirant plus fort, sa salive coulant le long de ma verge.
Je me suis laissé aller, ma main serrant légèrement l’arrière de sa tête. Un dernier va-et-vient, et j’ai joui profondément dans sa bouche. Elle a tout avalé, puis s’est relevée avec un sourire satisfait.
Elle m’a embrassé, laissant un goût mêlé de mer et de sexe sur mes lèvres.
– Merci pour la sieste… et le réveil.
Sans rien dire de plus, elle est repartie vers l’eau, plongeant dans les vagues, me laissant seul sur ma serviette, encore haletant, le cœur battant fort.







